Rue d’Alger
Rue d’Alger propose d’aborder plusieurs éléments urbains marseillais renvoyant aux histoires coloniales, à partir du croisement des perspectives artistiques et de la recherche académique.
Rue d’Alger propose d’aborder plusieurs éléments urbains marseillais renvoyant aux histoires coloniales, à partir du croisement des perspectives artistiques et de la recherche académique.
Monument en mouvements | Monumento e movimenti. Artistes et chercheurs face aux monumentalisations contemporaines, Alessandro Gallicchio et Pierre Sintès, Gli ori editori contemporanei, 2020, 128 pages « À l’Institut français de Florence en 2018, puis au… Lire la suite »Monument en mouvements | Monumento e movimenti
Ni vies de grands bandits, ni récits des « affaires » policières qui ont défrayé la chronique, ni portraits de « parrains » locaux… dans cette exposition et ce livre un autre regard sur la police est proposé, banal, presque ordinaire, attaché aux pratiques quotidiennes, aux réalités courantes du métier de policier, aux interactions entre les Marseillais et les forces de l’ordre, aux hommes et aux femmes qui font vivre les institutions policières.
L’auteur interroge ce paradoxe médiéval en explorant les récits de vie d’une quinzaine de saintes femmes du XIIIe siècle sous l’angle d’une anthropologie historique des émotions.
Villa Romana (Florence, Italie) présente la première exposition du projet MonuMed (Monumentalisation et espace urbain dans les Balkans et en Méditerranée, Pépinière d’excellence A*Midex), qui rassemble chercheurs en sciences sociales et artistes pour travailler sur les processus de monumentalisation de l’espace urbain dans les Balkans en Méditerranée.
Cette exposition multimédia explore le récent passé du quartier de la Cayolle, situé aux portes du Parc national des Calanques, au Sud de Marseille. Basée sur un important travail de collecte d’archives réalisé par le CIQ, elle évoque l’histoire du quartier de 1944 à nos jours, et plus spécifiquement celle du camp du Grand Arénas, qui a accueilli plusieurs communautés en transit entre 1944 et 1966.
Inscrites dans la mémoire et le paysage marseillais, les bastides ont contribué au rayonnement de la ville. A la fois domaine agricole et lieu de villégiature, elles ont modelé la structuration et l’occupation du terroir marseillais et marqué les esprits par l’art de vivre qui s’y est développé. De « l’âge d’or » des bastides sous l’Ancien Régime à nos jours, qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
En partenariat avec l’Institut du Monde Arabe, le musée d’Histoire de Marseille propose de renouveler le discours sur la relation du canal de Suez à Marseille et à son port, en confrontant espoirs, imaginaire et réalité et en s’appuyant sur les travaux historiques récents menés par le laboratoire TELEMMe d’Aix-Marseille Université.
Des lois rendant l’école obligatoire (Jules Ferry, 1881-1882) à la « révolution sociétale » de mai 1968, les représentations de l’enfance, la reconnaissance du statut des enfants et leur place dans la société changent profondément : Adèle, Adrienne, Jeannine, Sylvie, Charles, Guy, Jean et les autres sont autant de figures, de petits Marseillais, dont nous suivons l’évolution et la vie quotidienne à Marseille, dans une société en pleine mutation.
L’action des Brigades Internationales pendant la Guerre d’Espagne est considérée comme l’un des mythes ayant contribué à faire de ce conflit civil un événement de dimension internationale, inscrit dans la mémoire collective. L’exposition « Levés avant le jour, les Brigades internationales, de l’Espagne à la résistance » revisite cette image en présentant le rôle de ces volontaires de toutes nationalités, venus combattre pour défendre la République espagnole et soutenir le front antifasciste.