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Questionner les archives audiovisuelles et numériques en contexte postcolonial : enjeux méthodologiques, historiques et éducatifs

Questionner les archives audiovisuelles et numériques en contexte postcolonial : enjeux méthodologiques, historiques et éducatifs

Cette journée d’étude propose un temps d’échange et de discussion à partir des travaux réalisés dans le cadre du projet Polyvocal Interpretation of a Contested Colonial Heritage – PICCH, en l’ouvrant à d’autres projets connexes rattachés à plusieurs disciplines, notamment l’Observatoire des publics et des pratiques de la culture, et le programme AMPIRIC/Pôle pilote de formation des enseignant·e·s et de recherche pour l’éducation. Organisée par les étudiant.e.s et doctorant.e.s, la journéen s’inscrit dans la dynamique du séminaire “Saisir la polyvocalité des archives audiovisuelles et numériques en contexte postcolonial” (S. Gebeil, V. Ginouvès, C. Mussard) mis en place dans le cadre du projet PICCH avec le soutien soutenu par l’atelier Visual studies et humanités numériques en Méditerranée du laboratoire TELEMME. La journée aura vocation à partager des premiers résultats issues de recherche en train de se faire, notamment afin d’envisager l’émergence d’axes communs concernant les médiations et les usages du passé colonial contemporains, au regard des spécificités disciplinaires de chacun.e.

Méditerranée sensible

Les rencontres méditerranéennes de TELEMMe 2023 se tiendront à la fondation Camargo (Cassis) le 26 juin 2023 et porteront sur la thématique “Méditerranée sensible“.

Cette 5ème édition est organisée par l’équipe des médiévistes mais bien sûr destinée à tous et toutes.  Plusieurs temps forts sont prévus : « Des sources dans tous les sens » ; « Dégoûtant salle et moche » ; un buffet aux saveurs méditerranéennes ; un mini-concert de musiques méditerranéennes médiévales par l’ensemble Apotropaïque ; une table-ronde, des petites conférences et un pot final.

Beauté et Terreur: regards croisés sur la colonialité entre Naples et Marseille

Cet évènement souhaite mettre en question, au prisme des recherches artistiques, académiques et pédagogiques, la « fabrique des imaginaires coloniaux » en Méditerranée à partir des contextes italien et français, et notamment des deux cas d’études emblématiques que sont Naples et Marseille. Ces deux métropoles méditerranéennes gardent toujours les traces matérielles et culturelles de la domination coloniale, révélant ainsi les enjeux qui entourent les « patrimoines dissonants » dans la conjoncture socio-politique actuelle. Ce moment de réflexion prévoit des tables rondes réunissant enseignants-chercheurs, artistes et commissaires d’exposition, ainsi qu’un cycle de projections et de performances.

Organisé par Alessandro Gallicchio et Kathryn Weir

LES COLLECTIONS SE DÉVOILENT

« LES COLLECTIONS SE DÉVOILENT »
Pour fêter 75 ans de création, le Festival d’Aix-en-Provence en partenariat avec TELEMMe (Aix-Marseille Université) et la Ville
d’Aix-en-Provence, vous convie à une journée exceptionnelle qui donnera la parole aux professionnels du spectacle, aux experts
des arts de la scène et aux chercheurs en sciences humaines. Entre passé et futur, entre patrimoine et création, histoire de l’art
et arts de la scène, cette journée met en lumière les enjeux liés aux archives de l’art vivant.

Le travail dans les économies et les sociétés méditerranéennes

Travail et ressources : questions connexes ou même problème ?
Pauline GUÉNA, UMR TELEMMe (AMU-CNRS)

Questions de recherche et sources en histoire du travail concernant le monde ottoman
Hayri Gökşin ÖZKORAY, UMR TELEMMe (AMU-CNRS)

La séance sera suivie d’une réunion des membres statutaires du groupe pour la planification des activités

Une maison abandonnée, Santiago, Chili, par Javier Ignacio Acuña Ditzel, 2008. Licence CC BY-NC 2.0 Source : https://www.flickr.com/photos/santoposmoderno/2391044477.

La fabrique de l’oubli

Du trou de mémoire à l’amnésie et de l’inattention au déni, l’oubli se caractérise par la perte partielle ou totale, momentanée ou définitive, de souvenirs d’événements, de représentations et d’espaces vécus, qu’ils soient intimes ou partagés. En ce sens, l’oubli se définit en miroir de la mémoire et fait partie intégrante de la construction d’identités individuelles et collectives. Dans la manière dont il se fabrique, il s’appréhende comme un processus sociopolitique et culturel volontaire, inconscient et/ou subi. Cette journée d’étude sera l’occasion d’aborder la construction de l’oubli, élaborée à des échelles spatiales et temporelles plus ou moins étendues, et mettant en tension une diversité d’acteur·ices