Séminaire d'histoire contemporaine

Anne-Emmanuelle Demartini (Université Paris 13) a publié en 2017 un livre consacré à l’affaire de l’empoisonneuse parricide Violette Nozière. Comment sortir de dimension anecdotique que comporte a priori tout fait-divers ?

Longtemps ignorée, voire méprisée par les historiens espagnols qui se méfiaient des fausses nouvelles (ou fake news) qu’elle a pu et peut propager, la presse est, depuis la publication en 1975 de Las Sociedades patrióticas (1820-1823).

Le premier séminaire de formation d’histoire contemporaine de l’année 2017-18 se tiendra aux Archives Municipales de Marseille en lien avec l’exposition qui débutera en novembre 2017 consacrée à l’enfance.

Le séminaire d’histoire contemporaine invite étudiants de master, chercheurs et enseignants-chercheurs à suivre une journée des « VIe rencontres autour du patrimoine sportif et de la mémoire du sport » organisées dans le cadre de Marseille Capitale Européenne du Sport 2017 (…)

Le séminaire de formation d’histoire contemporaine s’adresse à tous, en particulier aux étudiants de la spécialité « Le monde moderne et contemporain : Méditerranée, Europe, Afrique » de la mention de master « Histoire et humanités » d’Aix-Marseille Université.

Depuis une quinzaine d’années, les problématiques environnementales se sont imposées dans les différents champs de la recherche historique française, s’inscrivant aussi bien à l’échelle locale des territoires que dans une histoire plus globale et internationalisée.

40 ans après la rupture épistémologique provoquée par la publication de Surveiller et punir, l’histoire des modes d’asservissement, de contrôle et de châtiment des individus s’est profondément renouvelée.

Dans un contexte de questionnement du modèle des Etats-nations au sein d’une Europe unifiée et d’un monde globalisé, et notamment de leur capacité à juguler une crise économique qui peut sembler systémique, ce séminaire proposera une réflexion à partir d’une comparaison entre les cas français et espagnol.

Organisé en collaboration avec le programme ANR Identités et Cultures en Méditerranée  (ICEM), le séminaire interrogera la culture « blanche » de la France méridionale.