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Pages événements

Biographies révolutionnaires

Cette journée n’est pas commémorative, même si la question du « protagonisme, comme facteur d’amplification de l’évènement » a été souligné dès 1986 à Aix par Haim Burstin, en prenant le cas de la Révolution française. Il s’agit, en effet, au cours de cette journée d’études, de valoriser les approches nouvelles sur les acteurs de la Révolution (…)

Histoire de l’Environnement – Les bastides du Pays d’Aix

Témoins de l’emprise de la société aixoise sur la campagne sous l’Ancien Régime, les domaines bastidaires sont aujourd’hui largement menacés par l’expansion urbaine. Leur protection et leur valorisation sont les enjeux de cette étude. Mais surtout, il s’agit de mieux connaître et analyser la genèse de ces ensembles et leur rôle dans la constitution d’un paysage.

Traces, lieux et mémoires de l’événement  »capitale européenne de la culture »

Ces rencontres internationales ambitionnent de réunir des chercheurs, des acteurs culturels, des opérateurs et des politiques autour des enjeux actuels des capitales européennes de la culture. Ce label constitue bien davantage qu’un simple événement culturel et festif. Opération de requalification urbaine, enjeu touristique et économique, (…)

Le Corps

La Renaissance est fréquemment présentée comme une période de renouvellement des pratiques et des savoirs. Cette séance devrait permettre d’évaluer ces recompositions en matière médicale, et précisément gynécologique, au gré du développement  de la pratique anatomique et des héritages antiques.

Corps et pratiques de santé (Espagne, Italie)

José Tuells : Défendu par les Lumières comme une nouveauté technique, le principe de l’inoculation antivariolique offre un exemple précoce de contrôle exercé par les médecins sur le corps, tant individuel que social, au nom de la santé publique.

Régénérer l’ornement au contact de la Grèce : une idéologie à l’épreuve des faits au siècle des Lumières – Atelier ATRI du LabexMed

Attachée à une histoire linéaire des styles généralisée au XIXe siècle, l’historiographie de l’art des Lumières distingue spontanément, en les opposant, la sensibilité rocaille et l’émergence d’un goût « à l’antique » dans l’Europe du XVIIIe siècle. En résultent la normalisation et la partition du siècle en deux périodes stylistiques, consécutives et surtout catégoriques – c’est-à-dire réactives l’une à l’autre : l’art « rococo » contre l’art « néoclassique ».