Présences seigneuriales méridionales
SMAM -Séances médiévales d’Aix-Marseille : LA3M, IREMAM, TELEMMe, CPAF, CIELAM
SMAM -Séances médiévales d’Aix-Marseille : LA3M, IREMAM, TELEMMe, CPAF, CIELAM
Cette journée La recherche et la cité est organisée à l’occasion de la présentation, aux archives municipales de Marseille, de l’exposition Police ! Les Marseillais et les forces de l’ordre dans l’histoire, dont le conseil scientifique et le commissariat ont été assurés par plusieurs membres de l’UMR TELEMMe.
Ce séminaire est consacré à l’analyse d’un objet difficile à appréhender, la délation, à travers les exemples de l’URSS, la France de Vichy et l’Espagne franquiste. L’étude du fonctionnent et des conséquences de la dénonciation ne se limite pas au XXe siècle puisque sera également considéré le rapport de l’inquisition à la délation dans l’Espagne moderne.
Le mouvement suffragiste britannique fut profondément divisé par le déclenchement de la guerre de 1914-1918. D’un côté, les « patriotes » partisanes de la guerre à outrance appelaient à l’écrasement de l’Allemagne, « the over-sexed nation ». De l’autre, les « pacifistes » tentaient de mobiliser les « mothers of the race » du monde entier pour plaider la cause d’une paix négociée.
La conférence de Vincent Verroust, doctorant en histoire des sciences, portera sur le documentaire réalisé en 1964 par Pierre Thévenard, médecin vidéaste de l’Institut Pasteur, à la demande du professeur Roger Heim, mycologue et directeur du Muséum national d’Histoire naturelle.
Peut-on concevoir une société plus étrange que celle qui fait de la honte un objet à la fois de répulsion et de désir ? Tel est le paradoxe dans lequel le christianisme médiéval a installé les saintes femmes. Elles s’appelaient Christine, Marie ou Marguerite et étaient toutes à leur façon des virtuoses de la honte.
Quand on associe « journal » au nom d’Hubertine Auclert, on pense d’abord à La Citoyenne, l’hebdomadaire qu’elle a fondé en 1881, fer de lance de son combat suffragiste. On sait moins que la journaliste féministe était aussi diariste.
Rue d’Alger propose la réinterprétation d’éléments urbains marseillais renvoyant aux histoires coloniales, à partir du croisement des perspectives artistiques et de la recherche académique. Le projet investit l’Institut culturel italien (ex Casa d’Italia), exemple emblématique de l’architecture fasciste sur le sol français, en ouvrant les portes d’un lieu « dissonant », et en révélant les archives.
D’une perspective comparative, volontairement diverse, prenant en compte des exemples européens, moyen-orientaux et mésopotamiens, du XVIIe au début du XXe siècle, ce workshop explore l’impact et l’influence des pratiques sociétales du genre sur les systèmes judiciaires. Pour ce faire, l’approche est double : d’une part, elle porte sur l’étude de l’institutionnel et, d’autre part, sur des études de cas.